Comment alléger la circulation d’une capitale de 3,5 millions d’habitants ? Comment lutter contre l’obésité ? Faire faire du sport ? Avec des pistes cyclables. Tout simplement. Berlin occupe une surface de quasiment 900 km2. Certes, la ville est relativement plate. Mais ici, le vélo est considéré comme un moyen de transport à part entière. Donc il faut le conduire comme tel (et non comme Guillaume).

Pour infos :

• Ne pas se garer n’importe où.
• Respecter les pistes cyclables et la signalisation spéciale vélos.
• Ne pas faire chier avec abuser de la sonnette.
• Ne SURTOUT PAS oublier ses lumière (avant ET arrière) la nuit.
• Montrer la direction quand on tourne.
• Ne pas rester à l’arrêt sur la piste cyclable
• Payer son ticket supplément vélo dans les transports en commun

Bref, respecter les règles du codes de la route et ne pas se laisser dominer par le sentiment de liberté que procure la conduite de la bicyclette. Car n’oublions pas qu’on peut se faire mal et faire mal en vélo…

A côté de tout ça… Putain que le cycliste est respecté ! Aucune voiture ne coupe la piste sans vérifier qu’un cycliste arrive à toute blinde. Et quand je dis « tout blinde », je parle des seniors qui doublent parfois en pleine côte, transportant une caisse chargées de bières (pleines). Je sais, je n’ai pas non plus un physqie de cycliste… Mais quand même…

Ceci étant dit, parlons un peu de la « Fahrrad Kultur ». Magasins de réparation, de customisation, sonnette funky/junky, bar à vélo, remorques… Il y a vraiment tout un monde autour du deux roues à l’huile de genoux.

Le froid étant (vite) arrivé, j’hallucine (et culpabilise) de voir des gens de 7 à 77 ans sculpter leurs mollets par -5°C. Pluie, vente, neige, rien ne semble arrêté le cycliste motivé.

Et oui, le vélo donne bonne mine et rend parfois sexy.

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